Depuis 1956, le Planning familial agit sans relâche pour un accès inconditionnel à la contraception, à l’avortement, à l’éducation à la sexualité et pour la lutte contre les violences et discriminations liées au genre et à l’orientation sexuelle. Ses actions, notamment en milieu scolaire ou lors de consultations médicales, touchent plus de 500 000 personnes chaque année. Pourtant, cette association d’utilité publique subit une baisse sans précédent de ses financements. Une situation dénoncée par Alexandre Basquin dans un courrier envoyé à la ministre Aurore Bergé : "Réduire les financements de cette association, qui dépend de l’Etat et des Départements, c’est prendre le risque d’éloigner les plus vulnérables d’un accès aux soins et à la prévention. Les jeunes seront certainement les premiers touchés.", souligne le sénateur.