Situation d’Arcelor-Mittal
Michelle Gréaume écrit au Ministre chargé de l'industrie
Publié le 29 novembre 2024Les salariés ne sont en rien responsables des manquements et erreurs stratégiques des dirigeants du groupe et ne peuvent servir de variable d’ajustement dans le seul but de satisfaire les actionnaires.
Michelle Gréaume se tient disponible pour travailler de concert avec les l’État, les collectivités territoriales concernées, les syndicats et la direction d’Arcelor Mittal afin de créer les conditions pour le maintien des emplois et des activités.
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Suite, notamment, à la révélation dans le journal l'Humanité d'une note de Bercy qui préconise d'énormes coupes budgétaires dans les comptes publics, Alexandre Basquin a dénoncé, en commission, le manque de visibilité du financement du ferroviaire sur le long terme. Alors que le rail nécessite une "politique structurante", a t-il martelé. Le sénateur du Nord a également souligné que les sociétés privées qui utilisent des réseaux de transport public devraient participer de manière plus conséquente au financement pour le renouvellement du réseau, l'amélioration des conditions de transport et la sécurité des usagers.
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Lors de la défense de la proposition de loi pour le renforcement de la protection de l'eau potable, le sénateur du Nord Alexandre Basquin a rappelé des chiffres (très) inquiétants : 1,4 milliard de personnes sont privées d'eau potable, près de 700 millions sont touchées par une pénurie d'eau ce qui cause une augmentation du flux migratoire de 10%. "Si nous n'y prenons pas garde, l'eau sera demain une source permanente de conflits", a alerté le sénateur. "Elle doit être un bien commun sanctuarisé." Alexandre Basquin a rappelé qu'en France, plus de 10 millions de personnes ont été alimentées au moins une fois par de l'eau non conforme aux normes règlementaires. Par ailleurs, plus de 30% des eaux sous-terraines sont contaminées par des pesticides et des métabolites. "Cette proposition de loi va donc dans le bon sens" a assené le sénateur.
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Lors des questions au gouvernement, le sénateur du Pas-de-Calais, Jean-Pierre Corbisez, a interpellé le gouvernement sur l'inaction française face au génocide en cours à Gaza. "Nous ne pouvons plus détourner les yeux !", a-t-il martelé. C'est pourtant ce qu'a choisi de faire le Premier ministre François Bayrou qui a tenu à répondre et a argumenté uniquement autour du terme d"otage" employé par le sénateur au sujet des Français toujours retenus mercredi après-midi en Israël. Une réponse tellement inadaptée que l'ensemble des sénateurs du groupe CRCE-K a quitté l'hémicycle. Une initiative rare qui en dit long sur la colère des sénateurs.
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