L’Humain d’Abord ! en vidéo
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Alexandre Basquin interviewé par les élèves du collège Lazaro
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Le sénateur Alexandre Basquin a rencontré les délégués de 5e, 4e et 3e du collège Lazaro lors d'un échange passionnant d'une heure. "Monsieur, quelles études il faut faire pour être sénateur ?" (Réponse du sénateur : "Aucune particulièrement, il faut être curieux, avoir une bonne culture générale et vouloir être au service des autres") ; "C'est quoi vos objectifs " (Réponse : "Je me bats pour que chacun puisse vivre dans des conditions dignes et accéder au bonheur"), etc. Spontanées, les questions ont fusé sur des thèmes très différents.
Il a même été question d'intelligence artificielle et de réseaux sociaux, des domaines sur lesquels le sénateur travaille et effectue des recherches depuis plusieurs mois. La rencontre a été suivie d'une interview avec les animateurs de la web radio du collège, qui ont fait preuve d'un enthousiasme contagieux !
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Retrouvez l'intervention de Michelle Gréaume sur le traitement des cartouches de protoxyde d’azote
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Lecture Retrouvez l'intervention de Michelle Gréaume sur le traitement des cartouches de protoxyde d’azote
par L'Humain d'abord au Coeur de la République
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Vie privée : "Il faut interdire l'activité des courtiers en données numériques", appelle A. Basquin
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Qui sont les courtiers en données numériques ou data brokers ? Comment réussissent-ils à capter constamment nos données personnelles ? En sommes-nous réellement informés ? A qui les revendent-ils ? Lors d'une conférence de presse au sénat, le sénateur Alexandre Basquin a détaillé le fonctionnement des data brokers et a expliqué pourquoi ces courtiers étaient une menace pour nos vies privées et notre démocratie. Pour lutter contre le fonctionnement opaque des data brokers, l'élu du Nord vient de déposer une proposition de loi qui vise à interdire leur activité sur le territoire français.
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Pourquoi il faut créer un pôle public pour traiter les déchets contenant de l'amiante
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En conférence de presse vendredi, Alexandre Basquin, aux côtés de la sénatrice Michelle Gréaume et du maire de Thiant Marc Wattez, a présenté la proposition de loi qui porte sur la création d'un pôle public d'éradication des déchets contenant de l'amiante.
En effet, alors que la fabrication de l'amiante est interdite depuis presque trente ans, les "fibres tueuses" n'ont, pour autant, pas disparu. On les retrouve dans 90% des bâtiments construits avant 1997, 15 millions de logements et une partie des canalisations d'eau potable. L'Agence nationale de santé publique estime que l'amiante sera responsable de 100 000 décès d'ici 2050. Ce n'est pas tout : si le désamiantage progresse, la gestion des déchets (entre 300 000 et 600 000 tonnes par an) reste problématique. En effet, 97% d'entre eux sont enfouis dans le sol, sans inertage préalable. Un vrai danger pour notre santé et l'environnement. Alors que des solutions alternatives existent ! Mais, faute de moyens et de volonté politique, elles sont insuffisamment développées.
La région des Hauts-de-France étant particulièrement concernée, les sénateurs du Nord Alexandre Basquin et Michelle Gréaume ont décidé d'agir.
Ils viennent de déposer une proposition de loi qui demande la création d'un pôle public d'éradication des déchets contenant de l'amiante. Parce qu'il est temps de les éliminer définitivement, avec des solutions à la hauteur des enjeux sanitaires et écologiques.
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Où sont les machines achetées avec l'argent du CICE dans l'entreprise #michelin à La Roche-sur-Yon ?
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C’était donc possible ! Michelin vient d'annoncer qu’il allait rembourser une partie de l’argent versé par l’Etat, soient plusieurs millions d’euros, pour l’acquisition de huit machines-outils destinées au site de La Roche-sur-Yon (Vendée). Or, seules deux ont réellement été installées sur place et les autres ont été envoyées à l’étranger.
Cette décision, prise sans contrainte judiciaire, va dans le sens des recommandations du rapport rédigé par le sénateur communiste Fabien Gay dans le cadre de la commission d’enquête sur les aides publiques versées aux entreprises. Le sénateur a d’ailleurs assuré rester « pleinement mobilisé jusqu’au remboursement effectif ». Ce qui serait une
grande première.
Sorti en juillet, ce rapport a fait l’effet d’une bombe et ne cesse de faire parler de lui depuis.
Grâce au travail de la commission d’enquête, il a été établi, pour la première fois, que les aides publiques versées aux entreprises atteignaient 211 milliards d’euros pour la seule année 2023. Sans contrepartie, ni contrôle.
« Ce qui nous a stupéfiés, c'est qu'il n'existe aujourd'hui aucune définition précise des aides publiques et qu'il n'y a aucun tableau centralisateur : donc l'administration a été incapable de nous dire combien elle donnait, à qui et à quoi cela servait », a déploré Fabien Gay, devant la presse.
Le rapport a, notamment, établi que des grands groupes comme Michelin, ArcelorMittal ou LVMH recevaient des millions de la part de l’Etat et continuaient à verser des dividendes à leurs actionnaires, tout en menant des plans sociaux
« Bien loin de présenter l'ordonnancement d'un jardin à la française, le paysage des aides publiques aux entreprises semble aujourd'hui éclaté et échapper à toute réflexion d'ensemble », peut-on lire dans les conclusions.
En tout, vingt-six propositions ont été élaborées par les sénateurs.
Entre autres, la commission d’enquête a appelé à « un choc de transparence », mais aussi de « rationalisation », de « responsabilisation » et d’« évaluation ».
Fabien Gay a, également, expliqué que les sénateurs souhaitent que l'Insee puisse créer, d'ici à 2027, « un tableau, actualisé chaque année, des aides publiques aux entreprises, en fonction de leur taille », ce qui n'existe pas actuellement. Autre préconisation : « imposer le remboursement total » d'une aide si l'entreprise délocalise dans les deux ans le site ou l'activité l'ayant justifiée, et mieux encadrer les aides quand les entreprises versent des dividendes. Celle-ci a, donc, été suivie par le groupe Michelin.
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Prison ferme pour toutes les courtes peines: "Cela n'a aucun sens!", dénonce Alexandre Basquin
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Le sénateur du Nord Alexandre Basquin et son groupe CRCE-K ont voté contre la proposition de loi (PPL)qui vise à appliquer de la prison ferme y compris pour les condamnations de courte durée.
Pour expliquer son vote et le non-sens de cette PPL, le sénateur s'est basé uniquement sur des faits : la surpopulation carcérale est chronique en France, à tel point que le pays a été condamné par la Cour européenne des Droits de l'Homme ; en onze ans, on a compté 36 000 infractions nouvelles à ajouter à l'arsenal judiciaire, 4000 postes sont toujours vacants dans l'administration judiciaire, les conseillers d'insertion et de probation encadrent jusqu'à 120 détenus quand la norme est à 40 et toutes les études montrent que les alternatives à la prison font baisser la récidive. "Cette PPL est une fuite en avant !", a dénoncé le sénateur. Les faits lui donnent raison.
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"L 'eau doit être un bien commun sanctuarisé": l'appel d'Alexandre Basquin
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Lors de la défense de la proposition de loi pour le renforcement de la protection de l'eau potable, le sénateur du Nord Alexandre Basquin a rappelé des chiffres (très) inquiétants : 1,4 milliard de personnes sont privées d'eau potable, près de 700 millions sont touchées par une pénurie d'eau ce qui cause une augmentation du flux migratoire de 10%. "Si nous n'y prenons pas garde, l'eau sera demain une source permanente de conflits", a alerté le sénateur. "Elle doit être un bien commun sanctuarisé." Alexandre Basquin a rappelé qu'en France, plus de 10 millions de personnes ont été alimentées au moins une fois par de l'eau non conforme aux normes règlementaires. Par ailleurs, plus de 30% des eaux sous-terraines sont contaminées par des pesticides et des métabolites. "Cette proposition de loi va donc dans le bon sens" a assené le sénateur.
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Audition de l'ambassadeur d'Israël : il ne s’agit en rien d’une audition de courtoisie
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Michelle Gréaume est intervenue au sujet de Gaza lors de l'audition de l'ambassadeur d'Israël. Elle a, notamment, rappelé qu'un génocide était en cours. L'ambassadeur lui a répondu de manière extrêmement tendue.
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Retrouvez l'intervention du Sénateur Corbisez lors des questions d'actualité au Gouvernement
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Lors des questions au gouvernement, le sénateur du Pas-de-Calais, Jean-Pierre Corbisez, a interpellé le gouvernement sur l’inaction française face au génocide en cours à Gaza. "Nous ne pouvons plus détourner les yeux !", a-t-il martelé. C’est pourtant ce qu’a choisi de faire le Premier ministre François Bayrou qui a tenu à répondre et a argumenté uniquement autour du terme d"otage" employé par le sénateur au sujet des Français toujours retenus mercredi après-midi en Israël. Une réponse tellement inadaptée que l’ensemble des sénateurs du groupe CRCE-K a quitté l’hémicycle. Une initiative rare qui en dit long sur la colère des sénateurs.
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Gaza: suite aux propos de François Bayrou, les sénateurs CRCE-K quittent l'hémicyle
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Lors des questions au gouvernement, le sénateur du Pas-de-Calais, Jean-Pierre Corbisez, a interpellé le gouvernement sur l'inaction française face au génocide en cours à Gaza. "Nous ne pouvons plus détourner les yeux !", a-t-il martelé. C'est pourtant ce qu'a choisi de faire le Premier ministre François Bayrou qui a tenu à répondre et a argumenté uniquement autour du terme d"otage" employé par le sénateur au sujet des Français toujours retenus mercredi après-midi en Israël. Une réponse tellement inadaptée que l'ensemble des sénateurs du groupe CRCE-K a quitté l'hémicycle. Une initiative rare qui en dit long sur la colère des sénateurs.
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Retrouvez l'intervention de Michelle Gréaume lors des questions orales posées au Gouvernement
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